Sur la photo, on peut voir une coccinelle au milieu d’une colonie de pucerons, qu’elle dévore avec appétit. Elle a également pondu, et ses larves, plus voraces encore, se régaleront de tous ces pucerons. Ce qui prouve l’intérêt d’arrêter les traitements chimiques (pesticides et autres), car les insectes « indésirables » comme les pucerons par exemple, attirent des prédateurs, en l’occurence les coccinelles. Elles trouvent de quoi se nourrir, donc se reproduisent, et régulent la population des pucerons. En Guadeloupe, dans les zones non traitées chimiquement, on assiste régulièrement à ces prédations d’indésirables par les auxiliaires du jardin. A nous de les protéger, et de leur laisser une ou deux plantes envahies de pucerons. Arrêter les traitements inutiles de pesticides, c’est aussi protéger la biodiversité… A chacun de choisir !

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